Le cordonnier Pamphile #
Le cordonnier Pamphile A élu domicile Près d'un couvent de filles Et bien il s'en trouva. Ah ! ah ! ah ! ah ! Et bien il s'en trouva ! (bis) Car la gent monastique Jetait dans sa boutique Des trognons et des chiques, Restes de ses repas. Ah ! ah ! ah ! ah ! Restes de ses repas ! (bis) Un soir la soeur Charlotte S'asticotait la motte Avec une carotte Grosse comme le bras. Ah ! ah ! ah ! ah ! Grosse comme le bras ! (bis) Elle s'astique les tétasses, Se branle la connasse, Mais quelque effort qu'elle fasse, Le foutre ne vient pas. Ah ! ah ! ah : ah : Le foutre ne vient pas ! (bis) Mais comme tout a un terme, Enfin jaillit le sperme, Son con s'ouvre et se ferme, Enfin elle déchargea. Ah ! ah ! ah ! ah ! Enfin elle déchargea ! (bis) Alors toute contente, Elle retire de sa fente La carotte écumante Et puis elle la jeta. Ah ! ah ! ah ! ah ! Et puis elle la jeta ! (bis) Par un hasard comique, La carotte impudique Tomba dans la boutique Du cordonnier d'en bas. Ah ! ah ! ah ! ah ! Du cordonnier d'en bas ! (bis) " Ah, dit-il, quelle chance ! C'est aujourd'hui dimanche, Elle est à la sauce blanche. " Et hop, il l'avala. Ah ! ah ! ah ! ah ! Et hop , il l'avala ! (bis) " Crénom de dieu, fit-il, Cette carotte sent l'urine, Elle a servi de pine ! " Et il la dégueula. Ah ! ah ! ah ! ah ! Et il la dégueula ! (bis) |